Tour du Finistère
« J’ai coupé après Liège-Bastogne-Liège en vue de la deuxième partie de saison. Je suis resté six jours sans faire de vélo. J’ai pu bien reprendre avec de bons entraînements. Je reprends sur le Tour du Finistère. C’est une épreuve qui présente plus de 3000 mètres de dénivelé, c’est une course usante, avec un final difficile. Mais généralement cela arrive groupé au pied de la dernière bosse avec un peloton de 40-50 coureurs, et cela joue entre puncheurs-sprinteurs, même si parfois les attaquants arrivent à déjouer les pronostics. »
« Ce sont deux épreuves que je connais bien, forcément ! Le Tour du Finistère a tendance à répéter le même scénario depuis quelques saisons, avec un groupe assez conséquent qui se dispute la victoire au sprint. La bosse finale fait mal, mais elle entre tout à fait dans les cordes d’un puncheur-sprinteur. Nous possédons plusieurs atouts avec Louis Barré, par exemple, qui peut parfaitement s’exprimer sur ce type de courses, mais aussi Élie Gesbert, Laurent Pichon qui tournent autour d’un succès. Les Boucles de l’Aulne c’est plus ouvert, le scénario est moins lisible, et c’est plus décousu comme course. C’est plus dur pour une équipe pour contrôler sur cette deuxième épreuve de ce second week-end de classiques bretonnes »