Simon Guglielmi prolonge avec ARKEA-B&B HOTELS
Rouge et noir depuis deux saisons, Simon Guglielmi continuera à porter le maillot de notre formation qui deviendra ARKEA-B&B HOTELS, en 2024.
« Je n’ai parlé avec aucune formation cycliste professionnelle pour évoquer mon avenir: uniquement avec Emmanuel Hubert, Manager Général de l’équipe Arkéa-Samsic. C’est au sein de cette équipe, qui deviendra ARKEA-B&B HOTELS en 2024, que je souhaitais prolonger mon engagement professionnel. J’ ai trouvé au sein de cette structure mon équilibre, et mon programme de course correspond à mes attentes, tout comme le statut que l’on m’y accorde. J’ai suivant les courses disputées, soit un rôle de coéquipier auprès d’un leader afin lui permettre de gagner la course, soit je peux être en capacité de jouer ma carte quand l’équipe m’offre cette option. Cela me permet de garder le goût de me battre pour la victoire, mais aussi d’aller chercher de belles performances. Emmanuel Hubert aimerait également que je lève la main sur certaines manches de Coupes de France correspondant à mon profil, que j’annonce lorsque je suis bien, afin d’essayer d’aller décrocher une victoire. Pour que mes coéquipiers puissent un peu me rendre la pareil par rapport au boulot que je fais pour eux sur de nombreuses courses ».
« Simon Guglielmi s’est de suite fondu dans l’état d’esprit de l’équipe. C’est un coureur qui apprécie de travailler au profit de ses leaders. Son apport leur est précieux que ce soit auprès de ceux du pôle montagne ou du pôle sprint de l’équipe. Il a d’ailleurs travaillé durant de nombreuses saisons, et avec succès, au sein du train de Arnaud Démare dans leur précédente équipe. Sérieux, appliqué, ayant le sens du devoir et l’amour de son métier, Simon qui est encore un jeune coureur, ne l’oublions pas, progresse aussi après après année. Il a été capable de faire de belles étapes en 2022 sur les routes du Tour d’Espagne, avec à la clé des places intéressantes lors d’arrivées difficiles, et en a fait de même cette année sur les routes du Tour de France. Simon est pour moi un coureur que l’on pourrait appeler à maturité tardive, qui continue à passer des paliers saison après saison ».