12 avril 2023

Classic Grand Besançon Doubs, Maxime Bouet : « Le belvédère de Montfaucon, le juge de paix »

La Classic Grand Besançon Doubs ouvre le triptyque des épreuves dans l’Est, avec une arrivée pour puncheurs dans les rues de Montfaucon.

« La Classic Grand Besançon Doubs était une première pour moi en 2022, et j’avais été échappé tout au long de cette épreuve. La course est d’une configuration assez simple avec la double ascension de la bosse d’arrivée qui est difficile, trois kilomètres, avec de la pente surtout au pied. Il faut être bien placé à ce moment-là, car la route qui précède le Belvédère de Montfaucon est plate avec des virages, et on attaque de suite avec de forts pourcentages. Les meilleurs généralement s’expriment lors de cette difficulté, cela se fait à la pédale. Et souvent la victoire se joue là. L’an passé, Élie avait effectué une très belle course en finissant près du podium et de la gagne. J’espère qu’il en sera de même cette année ».

Roger Tréhin, directeur sportif

« La Classic Grand Besançon Doubs sourit souvent aux puncheurs-grimpeurs. C’est une épreuve qui propose un profil assez vallonné dans son ensemble, mais la décision généralement se fait dans le final, avec la bosse du Belvédère de Montfaucon à l’arrivée, que les coureurs doivent escalader à deux reprises. Nous disposerons d’un collectif homogène sur cette épreuve capable de tirer son épingle du jeu avec Élie Gesbert, Cristián Rodríguez et Ewen Costiou que l’on a vu à son avantage mardi dernier sur les routes de Paris-Camembert ».

Coureurs